Amélie-les-crayons est une troupe française alliant chanson et théâtre, et c'est aussi le nom de scène de la chanteuse éponyme. Cette troupe est formée d'Amélie et de trois musiciens.
Née en 1981, Amélie-les-crayons sort d'une formation à l'art dramatique et au théâtre de rue quand elle commence à se mettre à l'écriture de chansons en 1999. Les spectacles s'enchaînant, elle crée le personnage d'Amélie-les-crayons et est rejointe par trois musiciens : Michel Caroline (accordéon, chœurs), Heiko Wilhelm (piano, clarinette, tuba, chœurs) et Laurent Fellot (contrebasse, basse, chœurs). Elle met en place un univers qui privilégie les décors et les personnages, comme au théâtre, plutôt qu'un simple spectacle de chansons.Histoire[modifier]
Autour du spectacle Le chant des coquelicots, le groupe sort une première démo en 2002 (Le chant des coquelicots), puis un premier album Et pourquoi les crayons ? en 2004.
En 2007 c'est un nouveau spectacle qui est créé, La porte plume associé à un album de même titre, récompensé par le grand prix de l'académie Charles Cros en octobre 2007. Pour ce spectacle, Amélie est entourée d'Olivier Longre (guitare, mandoline, percus, clarinette, flûte, glockenbassn' spiel, Guillaume Clary (flûtes, clarinette, glock, percussions, chœurs) et Antoine Amigues (piano, guitares, chœurs, percussions).
ÉLIZABETH
http://www.youtube.com/watch?v=zdgbNLlLZaQ
PAROLES
ÉLIZABETH
http://www.youtube.com/watch?v=zdgbNLlLZaQ
PAROLES
Elizabeth devant sa garde-robe
A 7h32 s’arrache les ch’veux
Elizabeth devant sa garde-robe
Sait jamais ce qu’elle veut
Elle a trop d’pulls, de ch’mises et de culottes
De chaussettes, de chaussures et de frocs
De manteaux de nus-dos, de débardeurs
De robe et de tailleurs
De foulards, de maillots, de jambières…
Elizabeth désespère…
Elle sent ses jambes qui se dérobent
A 8h07, elle se couche par terre
Elizabeth devant sa garde-robe
Les bras en croix le regard en l’air
Elle vient d’entendre la météo
Qui lui dit ni froid ni chaud
Aujourd’hui ce sera mitigé
Décidément elle n’est pas aidée
Elizabeth devant sa garde-robe
A 8h25, se ressaisit
Elizabeth devant sa garde-robe
Décide de s’habiller en gris
Mais elle a trop d’pulls, de ch’mises et de culottes grises
De chaussettes, de chaussures et de frocs gris
De manteaux de nus-dos, de débardeurs
De robe et de tailleurs gris
De foulards, de maillots, de jambières grises…
Elizabeth crise…
Elizabeth devant sa garde-robe
A 8h43 a le choix
Elizabeth devant sa garde-robe
Entre un pantalon et une jupe à pois
Elle préfère bien la jupe mais si elle prend froid
Avec un gilet, ben ! Pourquoi pas ?
C’est seulement à 9h23
Qu’elle est prête elle a mis des bas
Elizabeth devant l’miroir de la commode
A 9h32 n’en croit pas ses yeux
Elizabeth devant l’miroir de la commode
Voit une tache sur son gilet bleu
Elle enlève son gilet, sa jupe et ses bas
Avec autre chose ça irait pas
Elle met l’pantalon gris qui l’attendait là
Plus que le haut, après c’est promis, elle y va
Mais elle a trop d’pulls, de ch’mises et de cols V
De grandes manches, de bretelles et de cols roulés
De bodys, de nus-dos, de débardeurs
De châles et de tailleurs
De capes, de vestes, d’anorak…
Elizabeth craque…
Elizabeth devant sa garde-robe
A 9h50 ne sait plus quoi faire
Elizabeth devant sa garde-robe
Ne retrouve plus son chemisier vert
Elle est sûre qu’il est propre elle l’a lavé hier
Un cadeau de sa belle-mère
Et elle cherche, fouille, et puis, hop !
Elle le trouve en boule sous une pile d’affaires
Elizabeth devant sa garde-robe
A 10h est en train de repasser
Elizabeth devant sa garde-robe
Son joli chemisier
La radio allumée elle entend
Les infos de 10h annoncées
Là Elizabeth est vraiment
En retard, son car elle l’a loupé
Elle lâche son fer, son chemisier
Elle attrape les yeux fermés
Un survêtement, des basket, un tablier
Et sort de chez elle tout mal fagotée.
A 7h32 s’arrache les ch’veux
Elizabeth devant sa garde-robe
Sait jamais ce qu’elle veut
Elle a trop d’pulls, de ch’mises et de culottes
De chaussettes, de chaussures et de frocs
De manteaux de nus-dos, de débardeurs
De robe et de tailleurs
De foulards, de maillots, de jambières…
Elizabeth désespère…
Elle sent ses jambes qui se dérobent
A 8h07, elle se couche par terre
Elizabeth devant sa garde-robe
Les bras en croix le regard en l’air
Elle vient d’entendre la météo
Qui lui dit ni froid ni chaud
Aujourd’hui ce sera mitigé
Décidément elle n’est pas aidée
Elizabeth devant sa garde-robe
A 8h25, se ressaisit
Elizabeth devant sa garde-robe
Décide de s’habiller en gris
Mais elle a trop d’pulls, de ch’mises et de culottes grises
De chaussettes, de chaussures et de frocs gris
De manteaux de nus-dos, de débardeurs
De robe et de tailleurs gris
De foulards, de maillots, de jambières grises…
Elizabeth crise…
Elizabeth devant sa garde-robe
A 8h43 a le choix
Elizabeth devant sa garde-robe
Entre un pantalon et une jupe à pois
Elle préfère bien la jupe mais si elle prend froid
Avec un gilet, ben ! Pourquoi pas ?
C’est seulement à 9h23
Qu’elle est prête elle a mis des bas
Elizabeth devant l’miroir de la commode
A 9h32 n’en croit pas ses yeux
Elizabeth devant l’miroir de la commode
Voit une tache sur son gilet bleu
Elle enlève son gilet, sa jupe et ses bas
Avec autre chose ça irait pas
Elle met l’pantalon gris qui l’attendait là
Plus que le haut, après c’est promis, elle y va
Mais elle a trop d’pulls, de ch’mises et de cols V
De grandes manches, de bretelles et de cols roulés
De bodys, de nus-dos, de débardeurs
De châles et de tailleurs
De capes, de vestes, d’anorak…
Elizabeth craque…
Elizabeth devant sa garde-robe
A 9h50 ne sait plus quoi faire
Elizabeth devant sa garde-robe
Ne retrouve plus son chemisier vert
Elle est sûre qu’il est propre elle l’a lavé hier
Un cadeau de sa belle-mère
Et elle cherche, fouille, et puis, hop !
Elle le trouve en boule sous une pile d’affaires
Elizabeth devant sa garde-robe
A 10h est en train de repasser
Elizabeth devant sa garde-robe
Son joli chemisier
La radio allumée elle entend
Les infos de 10h annoncées
Là Elizabeth est vraiment
En retard, son car elle l’a loupé
Elle lâche son fer, son chemisier
Elle attrape les yeux fermés
Un survêtement, des basket, un tablier
Et sort de chez elle tout mal fagotée.
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